A jamais consolée
A mon fils...
Un jour du mois de mai
Contre un rocher
Ta vie s'est arrêtée
Toi dont le nom
Est protecteur
Des automobilistes
A l'ascension
Dans la lueur
D'un matin blanc
Aux promesses
D'un jour nouveau
Ta fougue et ta beauté
Dans un éclair furent emportées
Tu es resté si peu
Sur cette terre
Devant le grand miroir
De la vie
Tu ne fus qu'un oiseau de passage
Ton rire et ta voix me hantent
Ton parfum se répand sur mes pas
Ma main
Lourde d'Amour te cherche
Un grand silence m'étouffe
Ton visage erre et m'aveugle
A jamais consolée
Mes entrailles saignent
Sur le berceau de ton âme
Piedra
Le 04/04/2016
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