Sur et sous
Dédié à C...
Sur sa lèvre blessée je posais ma douceur,
Un petit lieu de nuit entre deux âmes sœurs !
Le vent de mes chagrins s'effaçait comme un jour
Dont on ne sait la pluie lorsque l'on sait l'amour !
Sur ses seins endormis j'éveillais la tendresse
Et qu'ainsi – en l'instant - sous mes yeux ils se dressent
Le vent de mes chagrins s'effaçait comme un jour
Dont on ne sait la pluie lorsque l'on sait l'amour !
Sur l'aube de son ventre étoilé de désir
S'en venait, doucement, la beauté du plaisir !
Le vent de mes chagrins s'effaçait comme un jour
Dont on ne sait la pluie lorsque l'on sait l'amour !
Sur l'humide blessure au profond de son être
Ma langue balbutiait comme pour la connaître !
Le vent de mes chagrins s'effaçait comme un jour
Dont on ne sait la pluie lorsque l'on sait l'amour !
Sous le feu du volcan Elle nomma ma vie
Comme étendus nos cœurs en nos tendres envies !
Le vent de mes chagrins s'effaçait comme un jour
Dont on ne sait la pluie lorsque l'on sait l'amour !
Sous la beauté du soir à son corps entrouvert
J'imaginais déjà quelques mots, quelques vers !
Le vent de mes chagrins s'effaçait comme un jour
Dont on ne sait la pluie lorsque l'on sait l'amour !
Sur le drap feuilleté d'un livre de mots tendres
Elle restait couchée comme semblant m'attendre !
Le vent de mes chagrins s'effaçait comme un jour
Dont on ne sait la pluie lorsque l'on sait l'amour !
Les dessous les plus sûrs des femmes que l'on aime
Vous font écrire au soir de bien jolis poèmes !
Le vent de mes chagrins s'effaçait comme un jour
Dont on ne sait la pluie lorsque l'on sait l'amour !
Sur et Sous l’écritoire où je l'attends encore
Il est, au fond de moi, le parfum de son corps !
Le vent de mes chagrins s'effaçait comme un jour
Dont on ne sait la pluie lorsque l'on sait l'amour !
Le 14 05 2015
Copyright. Tous Droits Réservés.
Alain Girard
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